CE Mardi 28 novembre 2017, les rumeurs et les fake news seront au cœur de pas moins de deux conférences et d’une table ronde en Belgique.

Les deux conférences seront organisées à la Louvière.

À 13H30, c’est la Maison des associations de La Louvière qui me permettra d’intervenir auprès d’un public jeune avec une conférence intitulée : Fake news, Hoax, Rumeurs : quelles différences ? Comment limiter leurs impacts ?

Résumé: En effet, depuis l’accession au pouvoir présidentiel américain de Donald Trump, ‘ fake news ‘ est la nouvelle expression qui fait la une des médias. Les articles abondent pour dénoncer ce que l’on pourrait définir comme des fausses nouvelles présentées comme vraies par leurs instigateurs et qui ont un impact sur la manière dont le public peut évaluer une situation ou la pertinence d’une décision.

La fake news peut être définie comme une fausse information. Peut-on alors dire qu’elle est un hoax ou une rumeur, termes souvent associés à des contenus fallacieux ? Cette conférence-débat a pour double objectif de réfléchir aux points communs et aux différences entre ces termes, et de pointer les difficultés auxquelles le citoyen est confronté lorsqu’il veut se faire une idée objective de la véracité d’un fait rapporté !

Adresse : Place Mansart – 7100 La Louvière

À 19H, la même conférence mais un peu plus longue et davantage destinée aux adultes sera donnée à La Maison de la Laïcité.

Adresse : Rue Waroqué 124, 7100 La Louvière. Plus d’infos et inscriptions ici!

L’après-midi, je participerai au BELGIUM PR SUMMIT qui, cette année, a pour thème : Communicating in the post-truth era. À 16H15 aura lieu la table-ronde  Fake news : are we losing our critical mind ?

Résumé: Pourquoi croyons-nous si facilement aux contenus racontés sur Facebook et les autres médias sociaux ? Est-ce que la génération des Millenials est plus facilement influencée par les fausses informations qui sont diffusées par les sites satiriques ou par les sites malveillants, plus dangereux ? Comment est-ce que les Fake News sont-elles devenues un sujet si important ? Quelles sont les mécanismes derrière cette évolution ? Est-ce que la crédibilité de l’ensemble des médias a été contaminée par le virus des Fake News ? Est-ce que les Millenials croient encore aux médias traditionnels ?

Lors de cette table-ronde, j’aurai la chance d’être accompagnée par le Doctorant Nicolas Vanderbiest spécialisé dans l’analyse des crises, par le fondateur du site parodique Nordpresse, Vincent Flibustier, par Viviane Huybrecht de la KBC, Brecht Vaes de Studio Brussel, Hans Vandendriessche de l’agence Belga-Gopress et Martine Maelschalk de l’agence White, Le débat sera modéré par Wim De Wilder, médiateur de la VRT.

N’hésitez pas à consulter le programme sur ce site : http://www.prsummit.be/program 

Au plaisir de vous rencontrer à l’un ou l’autre de ces événements !

Aurore Van de Winkel

Mercredi 8 novembre 2017, l’espace ADA et la mairie de Villers-lès-Nancy ont organisé, dans le cadre de l’événement République en tête(s), une belle conférence sur la rumeur. Ils nous ont invités Guillaume Brossard – co-fondateur de Hoaxbuster.com -, Daphné Vignon – Doctorante de l’Université de Nantes -, Alexandre Duyck – journaliste et auteur de La république des rumeurs – et moi-même à discuter de l’origine de la rumeur, de ses conséquences politiques et réputationnelles du 17e à aujourd’hui, de son rapport au pouvoir et des procédés permettant de la gérer.

Vous n’avez pu assister à cet événement? Les organisateurs ont heureusement filmé le débat qui a été diffusé en live sur la page Facebook officielle de la ville. Voici le lien pour regarder le replay!

Bon visionnage!

Aurore Van de Winkel

L’historien et journaliste Nicolas Evrard signe un bel article de trois pages dans Plus Magazine qui vous fera réfléchir sur la place des fausses informations sur le Net. A partir de mon interview et de ses propres recherches sur le sujet, il vous donne également 10 astuces pour démasquer une fausse information sur Internet.

N’hésitez pas à découvrir l’intégralité de l’article dans Plus Magazine n°342 de ce mois de novembre 2017. Le lien vers le site web du magazine est ici!

Bonne lecture!

Aurore Van de Winkel

La prise de conscience de la forte présence de fausses informations ou récits sur Internet et dans nos conversations a placé les légendes urbaines, ces récits faux pourtant crus par des milliers de gens, au coeur de l’attention d’une série d’organisations.  Il est vrai que connaître leur contenu, leur historique et les raisons de leur succès permettra de ne plus se laisser avoir.  La semaine du 13 novembre sera donc riche en conférences sur les légendes urbaines de Belgique, le sujet de mon dernier livre.

Mardi 14 novembre 2017, je ferai découvrir ces histoires aux membres de la dynamique Université du Temps libre de Mons. Plus d’infos et inscriptions via ce lien!

Le mercredi 15 novembre 2017, je ferai une Conférence au Cercle Gaulois à Bruxelles. Pour découvrir ce Cercle prestigieux, cliquez ici!

Le samedi 18 novembre 2017, je confronterai ces récits au scepticisme des Skeptics in the pub à la Fleur en papier dorée. N’hésitez pas à nous rejoindre à cette dernière activité. Elle est gratuite même si une participation à la location de la salle est proposée aux participants. Voici le lien pour vous y inscrire.

Au plaisir de vous rencontrer à l’un de ces événements!

Aurore Van de Winkel

 Date: le 8 novembre 2017

Heure: 20h30 –

Lieu: Domaine de l’Asnée – Villers-les-Nancy

Entrée libre

Plus d’infos via ce lien!

Rejoignez-y nous!

Perspectives on Contemporary Legend

International Society for Contemporary Legend Research

36th International Conference

Brussels, Belgium

Tuesday, June 5 – Saturday, June 9, 2018

The International Society for Contemporary Legend Research is pleased to announce that the 2018 Perspectives on Contemporary Legend International Conference will be held in June 5 – 9, in the capital city of Brussels, Belgium.

As is ISCLR’s custom, the 36th Perspectives on Contemporary Legend meeting will be organized as a series of seminars at which the majority of attendees will present papers. Concurrent sessions will be avoided so that all attendants can hear all papers.   Presentations will be 20 minutes with an additional 10 minutes for discussion.  Proposals for papers on all aspects of contemporary, urban, or modern legend research are sought, as are those on any legend-like tradition (rumor, conspiracy theories, fake news, etc.) that circulate actively at present or have circulated at an earlier historical period.  Proposals for special panels, discussion sessions and other related events are encouraged.

To submit a proposal, please forward a title and abstract (250-300 words) by February 1, 2018 by e-mail (aurore.vandewinkel@uclouvain.be) to the organizer:

Dr. Aurore Van de Winkel

Scientific Collaborator of the Language & Communication Institute

Université Catholique de Louvain

14, Ruelle de la Lanterne Magique

1348 Louvain-la-Neuve

Brussels is an amazing multicultural city of over two million inhabitants speaking mostly French, Dutch or English. Described by Victor Hugo, as “the most beautiful grand place of the world,” Brussels boasts architecture ranging from gothic and baroque to art noveau (townhouses designed by Victor Horta), art deco, and postmodern, including sites on the UNESCO World Heritage List.  With old neighborhoods and new, Brussels houses both European government buildings and major, wonderful museums, such as the Magritte Museum, the Old Masters Museum and the Millenium Iconoclast Museum of Art, and is, of course, home to the legendary statue of Manneken Pis.  Come and taste our chocolate, beer, French fries, Dutch meat stew, mussels, waffels, and a wide variety of other special foods.  Legends, both traditional and contemporary, abound throughout the city, making Brussels the perfect town to hold this conference.  For more information on the places to see, please visit the website http://www.visitbrussels.be : https://visit.brussels/en/article/brussels-in-figures
and https://visit.brussels/en/lists/top-20
or look at the pictures of the town on the Instagram account : @brusselsurbanlegends.

During the Conference, we will have many opportunities to explore some of the fabulous sites of Belgium, including an optional day-long excursion to the fantastic old city of Bruges, as well as organized visits in Brussels to such places as an old cemetery, beer and chocolate museums, and even into the sewers.

Travel information

Location:

IHECS – 58-60, Rue de l’Étuve – 1000 Brussels.

Brussels is in the heart of Belgium, at the western edge of Europe, with the country’s major cities—Bruges, Antwerp, Gent, Liège, and Namur—all within 50-100 km (35-60 miles).

Currency:  The Euro (€).  €1 is approximately US$1,20, CAN$1,50 or £0,90.

Official documents:  Europeans need only an ID card; citizens of other places need a valid passport.  In most cases, visas are not necessary for stays under 90 days.

Arrival: Brussels is easily accessible by plane, train or car.

– By plane: The closest airport is the National Brussels Airport of Zaventem (BRU). https://www.brusselsairport.be/en

The Airport is directly connected to Brussels, to Bruxelles-Midi or Bruxelles–Central.  The trip from the airport may be done by train (20 minutes, €8,80), STIB Express Airport Bus (30 minutes, €4,50), or taxi (€45).

– By train: The international trains stop at Bruxelles-midi train station only.

– By car: From the East use the E40; from the North use the E19, and from the South use either the E19 or the E411.

Mobility in Brussels :  The STIB provides  good and frequent public transportation by bus, tramway or metro. 1 ticket (€2,10) is valid for 1 hour on all three forms.

Accommodation: There are a lot of good hotels for different budgets near the Conference, in the center of the town.  Instructions will follow.

Information about the hotels and excursion will be sent out in a second circular and on the website: http://www.contemporarylegend.org.  Registration information and fees will be sent out on March 1.

We look forward to welcoming you to this conference reuniting the researchers who work on this ever current subject!

Aurore Van de Winkel

PS: Le texte de la présentation provient en grand partie de la présentation officielle de l’événement par Wavre Numérique!

Le Salon de l’éducation ouvrira bientôt ses portes à Charleroi. Comme chaque année, le Conseil supérieur de l’éducation aux médias (CSEM) y introduit la Quinzaine de l’éducation aux médias, par l’organisation le 18 octobre 2017 d’une table ronde. Cette année, le CSEM a choisi le sujet très actuel de la désinformation  et   des « Fake News », dont le terme a été popularisé par Donald Trump lors de sa campagne présidentielle.

Ce débat dirigé par Georges Lauwerijs, Journaliste à la RTBF et Chef de rédaction de la Première, permettra de croiser les regards d’experts en la matière tels que Julien Lecomte, Chargé de communication pour l’Université de Paix asbl, Nicolas Vanderbiest, Chercheur à l’UCL spécialisé dans les phénomènes d’influence sur les réseaux sociaux, Muriel Hanot, Secrétaire générale du Conseil de Déontologie Journalistique, Nicolas Becquet, journaliste et manager des supports numériques de L’Echo et moi-même, vu ma spécialisation sur les rumeurs.

Nous partirons de cas concrets où l’information médiatique a manqué de précision et de fiabilité et nous en tirerons les principaux enseignements. L’auditoire ne sera pas oublié puisqu’il y aura un échange sous forme de questions-réponses. 

Parce que plus que jamais, il est nécessaire d’être vigilant face aux informations qui circulent surtout lorsqu’elles ont été instrumentalisées ou même créées de toute pièce, cette table-ronde sera l’occasion de muscler notre esprit critique.

Vous nous y rejoignez ?

Lieu : Salon de l’Education de Charleroi

Charleroi Expo 

avenue de l'Europe, 21

6000 CHARLEROI

Date : Mercredi 18 octobre 2017

Horaire : 11h00-12h15 au Grand Auditoire

Durée : 75 minutes

Prix : Gratuit mais il faut s’inscrire via ce lien 

Plus d'infos ici!

L’une des préoccupations les plus courantes des personnes qui sont victimes de rumeurs – ou qui doivent apaiser une situation envenimée par la diffusion de rumeurs – est de trouver la personne qui les a lancées. Nous pouvons le comprendre : trouver une origine aux racontars donne l’impression que l’on a prise sur la situation. Connaître son adversaire permet de se concentrer sur une personne précise plutôt que sur un ennemi invisible, plus effrayant car échappant à tout contrôle. Il n’est donc pas étonnant de penser qu’en connaissant la source, voire le « coupable », nous avons la solution du problème.

Il est vrai que posséder cette information nous donne des avantages.

•  Elle permet de comprendre ou d’imaginer ses motivations et de donner alors un sens à ce qui est souvent perçu comme une attaque personnelle : jalousie, lutte concurrentielle, jeux de pouvoir, etc.
•  Outre le soulagement psychologique que cette connaissance procure, connaître l’auteur de la rumeur permet de mettre en place des actions. Vous pourrez confronter la personne et lui demander des explications. Si la rumeur est fausse, vous pourrez porter plainte pour calomnie ou diffamation ou encore demander la prise de mesures à votre hiérarchie.
• Si cette personne a la réputation de mentir ou de ne pas être fiable, connaître son identité permet d’utiliser la mauvaise image qu’il possède pour décrédibiliser ses propos et retourner la situation à son désavantage.

Dans les derniers cas, il faudra tout de même apporter des éléments qui prouveront sa culpabilité et si la rumeur est vraie, vous ne serez toutefois pas dispensé de vous expliquer sur son contenu.

Cependant, la connaissance de cette information n’est pas toujours nécessaire ou même suffisante. Elle ne garantit pas que les autres personnes s’arrêteront de croire et de diffuser les racontars.

• Si ces derniers se sont répandus, c’est que leur contenu suscitait l’adhésion collective : un fonds de vérité, une attitude ou un comportement mal interprété, une décision mal comprise, une position enviable et enviée, etc. Tant que votre comportement, attitude ou propos pose question, on en parlera afin de mieux vous cerner ou vous comprendre.
•  Si votre réputation est plus mauvaise que celle de l’auteur de la rumeur, les gens peuvent aussi se rallier à l’avis de votre adversaire en pensant que c’est un moindre mal. L’important étant alors de vous déstabiliser ou de vous écarter, peu importe si c’est grâce à une information véridique ou non.
•  Vous pouvez aussi être l’objet malgré vous d’un système qui vous a placé dans le rôle de bouc émissaire ou de « tête à couper ». Votre rôle permet au système de se maintenir tel qu’il est. Le modifier provoquera sa déstabilisation et donc des résistances au changement de ses membres et cela, même si le système est pervers ou malsain.
•  De nombreuses personnes pourront aussi être influencées par la rumeur même s’ils n’y croient pas totalement. Le poison du doute aura des conséquences : évitement pour empêcher  l’amalgame, mise à l’écart de la personne visée de peur d’être soi-même la prochaine victime, refus de prendre position, ou prise de mesures de précaution pour éviter les conséquences au cas où la rumeur serait quand même véridique. Par exemple, si vous êtes accusé de vols, on pourra éviter de vous remettre les clés d’un coffre. S’il s’agit de harcèlement sexuel, les femmes ou les hommes (selon votre identité ou préférences) pourront éviter de rester seul(e)s avec vous.
•  Enfin, il n’existe peut-être pas d’auteur précis. La rumeur a pu surgir spontanément des conversations sans préméditation.

 Ainsi, connaître l’auteur de la rumeur qui vous vise est effectivement un élément intéressant mais n’est pas la panacée ! Cela ne vous évitera pas de prendre des mesures en termes d’action et de communication pour gérer la situation qui vous préoccupe.

Vous voulez en savoir plus ? Savoir comment mieux communiquer face à une rumeur qui ruine l’ambiance à votre travail, qui démotive les employés ou crée des conflits? Ou encore qui fait péricliter votre chiffre d’affaires ou entache votre réputation?

Rejoignez-nous à la formation Gérez les rumeurs à l’IHECS Academy les 12 et 13 octobre 2017 à Bruxelles! ATTENTION : La date limite pour les inscriptions est le 28 septembre ! Inscrivez-vous y vite via ce lien!

Vous ressortirez de cette formation en:

• ayant compris les mécanismes des rumeurs et les raisons de leurs succès,
• ayant compris pourquoi la rumeur vous a touché et pourquoi vos réponses n’ont pas suffit, voire ont aggravé la situation,
• ayant des outils pour adopter la stratégie de communication la plus efficace pour retrouver rapidement la confiance de vos publics !
• étant inspiré par des stratégies qui se sont révélées payantes,
• ayant plusieurs idées pour retourner votre situation à votre avantage, et ainsi être sûr de faire remonter votre notoriété et votre chiffre d’affaire!

Découvrez le programme via ce lien!

Aurore Van de Winkel

Vous vous demandez pourquoi les rumeurs doivent être prises en considération dans votre entreprise ? Vous avez l’impression qu’elles ne sont pas si dangereuses, que ce ne sont que des racontars, des futilités, des passe-temps pour fainéants ? Qu’elles sont négligeables ou qu’elles s’éteindront bien seules ? Vous savez en plus qu’elles sont inévitables, alors pourquoi s’intéresser à cette problématique ?

Pourtant, les rumeurs sont des signaux qu’il faut écouter surtout lorsqu’elles sont nombreuses dans votre entreprise. Elles ont des conséquences sur le moral de vos collaborateurs, leur motivation, peuvent provoquer des conflits, de l’absentéisme, voire dégénérer en harcèlement moral.

Mais que vous disent-elles sur votre entreprise ?

1. Que vos employés ou collaborateurs sont inquiets. Oui, les rumeurs apparaissent dans les situations inquiétantes, ambigües ou pour lesquelles l’information est lacunaire. Les rumeurs permettent donc aux collaborateurs de mieux comprendre la situation et d’imaginer la manière dont elle évoluera. Une façon de pouvoir se préparer au pire et parfois de prendre les devants pour quitter le navire avant qu’il ne sombre ! Les rumeurs sont alors une belle opportunité pour savoir sur quels sujets il faut rassurer ses employés.

2. Que la confiance dans le management est faible. Les rumeurs semblent alors beaucoup plus efficaces que l’information officielle pour savoir ce qui se trame. Les employés n’ont pas envie d’attendre que le manager décide de leur donner les informations qui les concernent. Ou ils se méfient des déclarations officielles qui peuvent leur paraître édulcorées, fuyantes ou mensongères. Les rumeurs sont alors une belle opportunité pour travailler sur la communication et les actions officielles afin qu’elles deviennent cohérentes et fiables.

3. Que l’entreprise est en crise ou qu’une crise se prépare : conflits, grève, démissions… Les rumeurs précèdent souvent ou accentuent ces phénomènes. Écouter ce que la rumeur dit de votre entreprise, de ses produits, de ses services, de son management est une réelle opportunité pour la direction de savoir quelles réponses et actions pensent mener le personnel pour se faire entendre ou pour que les choses changent.

Vous voulez en savoir plus ? Savoir comment mieux communiquer face à une rumeur qui ruine l’ambiance à votre travail, qui démotive les employés ou crée des conflits? Ou encore qui fait péricliter votre chiffre d’affaires ou entache votre réputation?

Rejoignez-nous à la formation Gérez les rumeurs à l’IHECS Academy les 12 et 13 octobre prochain à Bruxelles!

Vous ressortirez de cette formation en:

• ayant compris les mécanismes des rumeurs et les raisons de leurs succès,
• ayant compris pourquoi la rumeur vous a touché et pourquoi vos réponses n’ont pas suffit, voire ont aggravé la situation,
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Aurore Van de Winkel