Un ouvrier exploité dans un atelier d’exploitation de Primark a-t-il décidé de crier sa détresse via des étiquettes placées sur des vêtements bons marchés afin de susciter la prise de conscience des acheteurs européens ? Ou est-ce un coup monté d’une ONG pour remettre à l’agenda, le sort peu enviable des travailleurs fabriquant nos vêtements dans des conditions comparable à de l’esclavage ?
Entre légendes urbaines, faits réels et actions de marketing, cette histoire permet de rappeler les conditions déplorables des travailleurs des Sweatshops.
Découvrez mon analyse dans Le Plus/ Le Nouvel Observateur via http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1219611-appels-a-l-aide-sur-des-etiquettes-primark-vrai-sos-ou-buzz-marketing-tout-est-possible.html